La communication. Vaste thème que celui-ci non ?
La communication nous concerne toutes et tous. Elle est ce moyen qui nous permet de nous comprendre… ou pas ! Selon les mots et le vocabulaire utilisés, les gestes, les non-dits, la communication peut aussi être ce moyen qu’a notre corps de nous parler : de la maladie, pour « le mal a dit ».
La communication nous permet d’entrer en relation avec l’autre, mais parfois elle ne correspond pas du tout à ce que nous verbalisons à voix haute !
Le 5e centre énergétique, centre de l’expression de soi
En Santé Humaniste©, comme dans beaucoup de disciplines énergétiques, le centre de l’expression de soi se trouve au niveau du cou, et fait partie intégrante de notre corps physique. Il correspond au cinquième chakra (qui lui se trouve au niveau de notre corps éthérique, et est le centre de la communication). On lui attribue généralement la couleur bleue.
Organes liés à ce 5e centre énergétique
Ce centre énergétise (donne de l’énergie) les organes se situant à cet endroit de notre corps : thyroïde et parathyroïdes, colonne cervicale, larynx, pharynx et amygdales, bouche et langue, et enfin oreilles.
Pathologies afférentes à ce 5e centre
A ces organes sont généralement associées les pathologies suivantes (liste non exhaustive) :
- problèmes de gorge : angine, laryngite ;
- hyper ou hypothyroïdies, goitres et nodules ;
- problèmes d’expression : bégaiements, logorrhées ;
- problèmes d’audition : otites et vertiges ;
- hernies discales cervicales ;
- problèmes de bouche : aphtes, pathologies dentaires.
Si vous êtes concerné(e) par l’un de ces symptômes, ou quelques-uns d’entre eux, vous pouvez vous poser la question :
- comment je communique ?
- ai-je des difficultés à m’exprimer ?
- y-a-t-il des éléments que je n’arrive pas à verbaliser, qui me bloquent ou me « donnent les boules » ?
Commencer à prendre conscience que si cette zone de votre corps a mal, elle peut vous donner une partie de réponse. Et c’est déjà bien pour avancer et aller mieux.
Qualités positives de l’Être et de ce 5e centre
En Santé Humaniste, des qualités positives sont également mises en rapport avec cette zone du corps. Elles correspondent à notre potentiel (potentiel de naissance, en miroir à notre potentiel vécu).
Ce sont des qualités que nous avons tous en nous. Pour certaines personnes, elles sont exprimées à leur plein potentiel, pour d’autres elles sont en sommeil. Par contre elles sont là pour tous, sans distinction ni restriction. Elles peuvent parfois s’exprimer dans le sens inverse, c’est-à-dire en négatif, lorsque justement il y a blocage dans notre façon de communiquer. Si elles s’expriment dans ce sens, pas d’inquiétude ! C’est que vous avez la possibilité de les exprimer en positif, vu qu’elles se montrent sous leur côté « sombre ». Vous êtes donc en capacité de les exprimer dans leur version « lumineuse ».
Voici les qualités pour cette zone bien précise, le cou :
- respect de soi, des autres, de la vie ;
- estime de soi, charisme ;
- prière et méditation ;
- expression de soi : qui on est, exprimer aux autres ce que l’on a à leurs dire.
A la lecture de ces qualités, comment vous sentez-vous ? :
- vous retrouvez-vous en elles, ou au contraire pas du tout ?
- certaines vous semblent-elles timides, d’autres fortes ?
- ou au contraire vous sentez-vous dans leur expression « négative » (non-expression de soi ; nons-dits, secrets ; image négative de soi-même ; médisance, critique ; non-respect, injures, vulgarité et grossièreté) ?
Besoin d’aller plus loin ?
Bien entendu, parfois nous n’avons pas nous-même la (ou les) clef s) nous permettant de comprendre pourquoi nous avons tels maux plutôt qu’un autre, pourquoi nous n’arrivons pas à nous exprimer sur certains sujets.
Une aide peut se trouver dans certains ouvrages, comme les dictionnaires des maux et maladies de Jacques MARTEL (Grand dictionnaire des malaises et maladies, éditions Quintessence Holoconcept), Claudia RAINVILLE (Le grand dictionnaire de la Métamédecine, éditions Guy Trédaniel) ou encore Michel OUDOUL (Dis-moi où tu as mal. Le lexique, éditions Albin Michel).
Parfois, il est utile d’aller plus loin et de voir ce qui se cache dans notre inconscient, ce qui n’est pas exprimé consciemment. La Santé Humaniste, comme d’autres méthodes énergétiques, peut vous donner la capacité d’ouvrir des espaces de compréhension sur vous-même. C’est un processus qui peut demander du courage, ou de passer au-delà de certaines peurs… Mais c’est un processus, qui, je trouve, en vaut la peine. Alors si vous sentez que c’est pour vous, que c’est le moment de franchir un pas pour être mieux dans votre corps et avec vous-même, n’hésitez plus, allez-y !
La communication autrement
Corps physique et corps subtils
Vous le savez peut-être, l’être humain n’est pas composé de son seul corps physique. Notre corps, nos organes, sont la couche la plus tangible de notre être, celle que tout le monde voit. Ce corps est notre véhicule ici sur terre, notre « matière ».
Autour du corps physique viennent se superposer ce que l’on nomme des corps subtils. Pourquoi subtils ? Car beaucoup d’entre nous ne les voyons pas avec nos yeux (enfin, certaines personnes, si…). Ce sont des couches énergétiques qui entourent notre corps physique. On les nomme aussi « champs auriques » ou « aura« .
« La science a déterminé que ce champs magnétique transmet de l’information à propos d’événements se produisant à l’intérieur du corps […]. Les champs auriques sont reliés aux chakras, créant une symbiose entre ce qui se passe à l’intérieur et à l’extérieur d’une personne » (cf Cindy DALE, « Le corps subtil, la grande encyclopédie de l’anatomie énergétique », Editions macroeditions.com).
Il existe plusieurs corps subtils (champs) qui régulent diverses fonctions : mentale, émotionnelle, spirituelle ou physique. On retrouve ainsi les corps physique, éthérique, astral, mental, causal, bouddhique et âtmique.
Je souhaite ici m’attacher au corps astral, reflet de notre état émotionnel.
Le corps astral : émotions et inconscient
Comme vous l’aurez compris au fil de la lecture de mes articles, la Santé Humaniste© s’attache à un travail fin et profond, pour retrouver harmonie et bien-être en soi, puis autour de soi.
Une partie de ma pratique prend en compte le mieux-être du corps physique, à travers la digitopuncture et l’apport de nutrition fonctionnelle et micro-nutrition s’il y a besoin. Une autre partie de mon travail, peut-être moins visible, prend en compte les corps subtils et leur bon équilibre. Car lorsque ceux-ci sont perturbés, ils connaissent des faiblesses (comme notre corps physique peut en connaître au travers de la maladie) et nous nous sentons moins bien.
La Santé Humaniste© propose de soulager de façon fine les corps éthérique, astral et causal. Le corps astral est notre troisième corps. Il est en lien direct avec nos émotions et notre inconscient.
Le corps astral, en lien direct avec nos émotions
En Santé Humaniste, l’inconscient recoupe 3 couches :
- l’inconscient individuel : propre à chaque personne, regroupe la somme du vécu de chacun et de tout ce qui a été refoulé, oublié. Il concerne donc toutes les émotions antérieures liées à notre vie actuelle (depuis notre conception jusqu’à l’âge adulte).
Lorsque vous êtes prêt, je peux vous proposer un accompagnement émotionnel, et ainsi trouver la source du blocage émotionnel dans le présent.
Par exemple, si vous avez un problème de communication dans votre couple, cela peut remonter à votre vie intra-utérine, quand vous entendiez vos parents se disputer continuellement, voir crier l’un sur l’autre. Vous pouvez rejouer la même chose que ce qui s’est joué pour vos parents lors de votre grossesse (si vous êtes une femme), ou lors de la grossesse de votre compagne (si vous êtes un homme). Vous les avez entendu mal se parler lorsque vous étiez bébé in utero, vous-même reproduisez le même schéma sans en avoir conscience. Ceci est d’autant plus flagrant si avant d’attendre un bébé votre communication avec votre conjoint(e) était saine et sereine. Cela peut révéler un mécanisme totalement inconscient (logé dans votre inconscient individuel donc), ou plus ou moins conscient mais sur lequel vous n’avez pas prise (c’est ce que l’on appelle un mode de fonctionnement, qui peut être stoppé grâce à ce type de thérapie brève) ; - l’inconscient collectif : en référence à Carl Gustav JUNG (1875-1961). Il peut se définir comme une immense trame, ou toile, nourrie de nos pensées, et reliant l’humanité toute entière. Comme le résume le psychothérapeute Gerhard Adler (1904-1988) : « l’inconscient collectif […] est le dépôt constitué par toute l’expérience ancestrale depuis des millions d’années, l’écho des événements de la préhistoire, et chaque siècle y ajoute une quantité infinitésimale de variation et de différenciation » ;
- l’inconscient karmique : se définit par la somme de toutes nos mémoires inscrites de nos vies passées. Cette troisième partie de notre inconscient peut être à la source de pathologies et comportements inexpliqués dans nos vies actuelles. Ces vies antérieures, lorsque cela le nécessite, peuvent être revisitées à travers les séances en accompagnement émotionnel proposées en Santé Humaniste©. Elles permettent de démêler ainsi des événements de vie les plus souvent marquants, voire traumatisants, des leçons de vie non comprises, ayant de réelles répercussions dans la vie présente.
Dernièrement, j’ai reçu une jeune maman qui avait un problème relationnel avec sa fille de 6 ans. Elle estimait beaucoup trop crier et de façon disproportionnée par rapport aux comportements de son enfant. Cette jeune femme avait déjà fait tout un chemin personnel, avait lu des ouvrages sur la parentalité responsable et bienveillante, comme ceux d’Isabelle FILLIOZAT (« Les émotions de l’enfant », ou « Il n’y a pas de parents parfaits »). Elle avait compris des choses de sa propre histoire de petite fille : enfance compliquée, parents qui ne s’entendaient pas, criaient souvent pour se faire comprendre, ne s’aimaient plus mais restaient ensemble par valeur judéo-chrétienne. Elle avait pacifiée ces épisodes de sa vie d’enfant. Lorsque elle m’en parlait, elle ne s’effondrait pas et ne pleurait plus. Cependant, restait le fait qu’elle criait (même si beaucoup moins souvent) toujours sur fille. Je lui ai proposé, lorsque elle a été prête, de commencer l’accompagnement émotionnel. Elle a fait au moins une séance portant sur une vie antérieure. Dans cette vie-là, elle se revoyait mère, acculée par la pauvreté, vivant dans la misère, ne supportant pas de voir sa fille si mal car dénutrie, impuissante face à ce qu’elles vivaient toutes deux. Elle se sentait tellement mise au pied du mur que sa seule façon de pouvoir se délester un peu de ce qu’elle vivait (toutes ses émotions de peur, tristesse, haine du monde, honte de sa situation…) était alors de hurler sur sa fille. Le travail a consisté à aider cette femme à faire la paix avec cette vie-là, en lui expliquant que tout n’était pas de sa faute, que ce qu’elle vivait, elle et sa fille, était insoutenable, et que à bout de fatigue et d’impuissance, elle ne trouvait plus que la ressource de crier…sur son enfant. La jeune femme que j’ai reçue en cabinet a d’elle-même fait le lien avec ce qu’elle vivait encore avec son enfant actuelle. Ça n’est pas que les comportements de sa fille méritaient qu’elle crie, mais bien juste qu’elle avait toujours la trace dans ses cellules (dans sa mémoire émotionnelle), qu’on pouvait crier sur son enfant. La situation s’est grandement apaisée par la suite dans la relation avec sa fille.
Je ne vous dis pas là que lorsque l’on revisite une vie antérieure on règle systématiquement sa problématique de communication présente. Cependant, cela peut parfois être d’un grand secours, et participer à ce mouvement de guérison que vous mettez en place pour aller mieux dans votre vie et votre quotidien. Vous pouvez donc ainsi améliorer vos relations et votre communication, tant avec vous-même qu’avec les autres.
Bien entendu, cette possibilité ne s’offre à vous que si vous êtes prêt à le faire, que si la notion de vies antérieures vous fait écho. Ce n’est pas moi qui décide de vous y emmener. C’est vous, votre inconscient, à travers la prise de votre pouls. Vous le comprenez donc, la Santé Humaniste© propose de remonter, à travers le temps, le fil des émotions, que celles-ci soient liées à notre vie présente ou non.
Un être communicant : un être qui ressent ses émotions
Nos émotions qui nous permettent de rentrer en relation avec l’autre, ou au contraire de ne pas le faire.
L’être humain est avant tout un être de ressenti. Tout un chacun a déjà ressenti de la joie, de l’amour, de la compassion, comme de la colère, de la tristesse, de la frustration, de la haine… si nous n’avions pas cette capacité à ressentir, à mon avis nous ne pourrions pas rentrer en communication avec l’autre, dans ce sens que nous ne pourrions pas éprouver de l’empathie envers les gens.
Mainte fois j’ai fait le constat que lorsque nous nous coupons de nos émotions, pour diverses raisons, nous avons des difficultés à comprendre l’autre, et nous-même. Comment pourrait-on comprendre la colère de quelqu’un si nous-même nous nous efforçons de la juguler ? Comment pourrait-on aimer si nous ne ressentions pas de l’amour envers les autres (amour envers notre conjoint/e, nos ami/e/s, nos parents, nos enfants) ?
Dans notre société occidentale telle que nous la connaissons aujourd’hui, peut être qu’une partie de la source de tant de conflits, de mal êtres et de malaises, vient du fait que depuis de nombreuses générations nous avons appris à refouler nos émotions. Parce que « c’est pas bien d’être en colère », « parce que si tu es un homme tu ne dois pas pleurer » (donc être triste), parce que dire « je t’aime » est pris comme une faiblesse…
Et si nos émotions nous rendaient plus forts ? Et si nos émotions, comprises, entendues, reconnues, nous permettaient de comprendre, entendre et reconnaître l’autre ? Et si nos émotions nous reliaient, nous rendaient humains : des hommes et des femmes empathiques, capables de rentrer en relation avec autrui de façon saine et sereine, et donc de toujours communiquer plus clairement et sincèrement ?
Je ne sais pas vous, je constate pour moi-même tous les jours que lorsque je me sens bien, que je suis bien avec moi-même, que je ressens de la joie, du bonheur, plutôt que de la tristesse ou de la colère, ma communication avec les membres de famille est plus simple, plus fluide. Par contre si quelque chose me perturbe, voir si je vis un coup dur, avant que mes émotions ne s’apaisent, que je les ai reconnues, identifiées (et encore, le processus ne se fait pas forcément automatiquement), ma communication avez les autres ne va pas forcément être sereine. Il me faut d’abord retrouver mon équilibre intérieur, avant de relationner, et donc communiquer, posément avec les autres.
Si contacter vos émotions et vous sentir mieux avec elles, pour mieux communiquer avec les autres, vous appellent, alors n’hésitez pas à me joindre ! Je vous proposerai ce que je sais faire et ce dont je suis convaincue : un accompagnement en Santé Humaniste©, pour une compréhension globale et profonde de qui vous êtes vraiment !